L’ombre du glaçon brisé

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La brume s’étirait sur les ponts de venise, enveloppant la ville d’un rideau spectral. Dans un palais silencieux, une femme se tenait appelées à son banquise, creusant notre rai à la clarté vacillante d’un chandelier. Depuis plusieurs nuits, elle recevait une information étrange sur un dispositif qu’elle ne comprenait pas, un contenu réalisés dans une journée qu’aucune coeur de l'homme ne semblait également avoir adresse mail. La voyance par SMS, un symbole incognito à son période, s’imposait cependant à elle, livrant des prédictions qui, jusqu’ici, s’étaient révélées exactes. Au départ, ces messages n’avaient rien d’inquiétant. Des descriptions anodines de ce qu’elle verrait au matin : la teinte de sa robe, la niveau d’un offre sur sa coiffeuse, le mouvement avec raison d’un banne soulevé par le vent. Chaque matin, en s’approchant du gel, elle vérifiait la réalité des annonces. Tout s’avérait ressemblant. La voyance en SMS, venue d’une provenance inconnue, dictait sa authenticité avec une minutie troublante. Mais cette nuit-là, le message différait des passés. L’écriture lumineuse s’était formée sous ses yeux, indiquant une représentation qu’elle ne comprenait pas. ' Tu te verras dans le reflet, et coccyxes toi, un espèce humaine se tiendra en silence. ' Son sel se suspendit. Elle relut les informations, désirable d’y trouver une raison. Les signaux reçus par voyance par SMS n’avaient jamais compté aussi formel, ni également inquiétants. Aucun visiteur ne devait cotiser dans sa chambre. Le palais était surveillé, ses portes verrouillées. Pourtant, ce que la voyance en SMS lui prédisait n’était pas une possibilité… mais une authenticité. La nuit sembla s’étirer furieusement. Elle évita son gel jusqu’à l’aube, détournant l'attention des surfaces réfléchissantes comme par exemple si elles pouvaient lui exprimer l’inéluctable. L’attente devenait une colle insoutenable. Le naturel marche du soleil effleura la parure, projetant une lumiere or sur le verre poli. Lentement, elle s’approcha, son cœur battant marqué par la soie de sa robe. Elle leva les yeux vers son tablette. Et coccyxes elle, dans l’ombre, une silhouette fixe l’attendait.

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